Vous avez décidé d’officialiser votre relation et de passer devant l’autel ou devant le Maire. A l’approche du jour J, vous êtes en proie à de nombreuses questions notamment le bon moment pour apporter les alliances. Les réponses.
Le jour J approche, vous êtes à fond sur les préparatifs. Vous passez en revue votre check-list pour éviter les mauvaises surprises de dernière minute. En ce qui concerne le timing le jour J, il faut savoir qu’il faut apporter les alliances au moment de l’échange des consentements. Cela est valable que vous choisissez un mariage civil ou un mariage religieux. Selon la tradition, c’est le marié qui passe d’abord l’alliance au doigt de sa femme. Si vous n’avez pas prévu de mariage religieux ou que vous souhaitez tout simplement que l’échange des alliances se fasse à la mairie, il est important de le préciser au moment de déposer votre dossier de mariage ou du moins il est important de prévenir à l’avance la personne qui va officier la célébration du mariage. Dans ce cas-là, il ne faut pas attendre l’échange de consentement pour apporter les alliances. Elles doivent être remises à la personne chargée de la célébration avant que les futurs époux entrent dans la mairie. Il est à noter que la loi n’impose pas l’échange des alliances pendant la cérémonie de mariage.
Si vous choisissez d’échanger les alliances pendant une célébration laïque, vous pouvez faire un échange classique, comme on le fait traditionnellement. Ainsi, les mariés se passent la bague au doigt tout en prononçant des phrases d’engagement. Vous pouvez aussi le faire en silence ou sur un fond musical de votre choix. Vous pouvez aussi jouer dans l’originalité en mettant en scène l’échange des alliances. Si l’échange des alliances se fait au cours d’une célébration laïque, il faut présenter les alliances sur un support de votre choix. Le plus classique est de les placer sur un petit coussin ou dans un petit panier. Par précaution, il vaut mieux attacher les alliances avec des petits rubans ou bien les caler dans leur emplacement pour ne pas risquer de les perdre en attendant l’échange des consentements.